Black Jack

Jeudi 8 novembre. Aujourd'hui toutes mes pensées vont à Jack qui passe le grand oral du CRFPA...dur, dur. J'ai longuement hésité à aller y assister, et puis je me suis dit qu'il devait être assez stressé comme ça, et que je risquais de le déconcentrer. Maintenant j'attends qu'il m'appelle pour savoir comment ça s'est passé, mais le connaissant je ne me fais pas de soucis (tant qu'on ne lui demande pas d'écrire en principe il n'y a pas de problème! lol).

Autre grande nouvelle, ça y est les "bornes à vélo" sont installées à coté de la fac (je sais c'est bizarre pour quelqu'un qui déteste le vélo de suivre avec autant d'assiduité la mise en place du système mais... hé ho de toute façon je fais ce que je veux!!!) et ça va s'appeler...attention roulement de tambours...Velô Toulouse! Tout simplement ridicule, et pas original du tout! (le jeu de mots avec la chanson "ô Toulouse" de Nougaro on le voyait venir gros comme une maison) Oui c'est vrai, quand j'aime pas je peux être de très mauvaise fois :D

Pour conclure ce billet, je rajouterai juste que le "dépucelage concertique" d'hier soir s'est très bien passé. Beaucoup de monde, des litres et des litres de sueur et de bière, une odeur nauséabonde, une température à la limite du supportable (pourtant j'ai une grande résistance en la matière), des corps à corps, de la guitare, du torse, de la voix...

PS : bien entendu on oubliera de préciser que, lorsqu'à la fin du concert, le batteur a lancé sa baguette dans le public il a failli me péter trois dents, ou me crever l'oeil gauche (au choix)!

PS bis : quelqu'un a t-il des nouvelles d'Eloïse parce que moi je ne reçois plus rien! Je commence à m'inquiéter, est-elle submerger par le travail, s'est-elle noyée dans une pinte de bière...ou s'est-elle trouvée un joli boyfriend en jupe plissée (ou autre ne soyons pas raciste ;-)

PS ter : le slogan du jour, lu sur la bannière d'un jeune manifestant place du Cap' : "Cécilia on est comme toi, on en peut plus de Nicolas!"

"Rouler toute la nuit, et la journée en prime. Sans savoir où on va, et pourquoi on y va. Je cours après un rêve, dans mon cœur accroché. Qui me crève la peau, sans jamais se montrer.

Je suis sur la route, je suis en déroute. Je suis sur la route, et j'en ai rien a foutre. Je suis sur la route (houhou), je suis en déroute. Je suis sur la route..."

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